Quand j'ai compris que les affaires peuvent être bien plus que cela
- Rousse Lavalle
- 12 juil.
- 2 min de lecture
L’autre jour, alors que nous prenions un café avec un vieil ami, une conversation a eu lieu sur le but de notre travail.
« Ce que nous faisons compte-t-il vraiment au-delà des chiffres ? » m’a-t-il demandé. J’y ai réfléchi pendant des jours.
J'ai passé des années à poursuivre des objectifs, à franchir des étapes importantes et à célébrer les résultats. Mais quelque chose a changé en moi lorsque j'ai commencé à regarder au-delà des indicateurs numériques.
Ce qui compte vraiment
J'ai réalisé que chaque décision que nous prenons a un impact sur des vies réelles. Ce n'est pas abstrait : il s'agit des familles de nos employés, des communautés où nous opérons, des personnes qui utilisent nos produits.
Le bien commun n'est pas une simple stratégie ou un slogan. Pour moi, c'est devenu une façon de me demander : cette décision respecte-t-elle la dignité des personnes concernées ?
Petites décisions, grandes différences
Je me souviens de la décision de conserver toute notre équipe pendant une période difficile, même si les chiffres laissaient présager des réductions. Des années plus tard, cette fidélité nous a été rendue sous forme d'engagement et de confiance.
Ou encore cette fois où nous avons opté pour un fournisseur local prometteur plutôt que pour une option moins chère. Aujourd'hui, nous grandissons ensemble, créant de la valeur qui perdure dans notre communauté.
Ce sont ces petites décisions quotidiennes, et non les grands discours, qui définissent véritablement si nous recherchons le bien commun ou simplement notre propre bénéfice.
Ce que j'apprends
Ce chemin n'est pas facile. Parfois, les pressions du court-termisme incitent à prendre des raccourcis éthiques. J'ai commis des erreurs et je continue d'apprendre. Mais je suis de plus en plus convaincu que nous pouvons créer des entreprises où chacun – employés, clients, fournisseurs et communauté – peut s'épanouir pleinement. Où la réussite ne se mesure pas uniquement en profits, mais en qualité de vie.
Et le plus surprenant : lorsque nous abordons notre travail de cette manière, les résultats financiers suivent généralement, mais comme une conséquence, et non comme une fin.
Avez-vous également ressenti cette anxiété ? Avez-vous ressenti la tension entre les résultats immédiats et la valeur à long terme ?
J'aimerais beaucoup connaître votre avis. Car je crois que nous sommes tous en train de redéfinir ce que signifie réussir en affaires.
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Ce blog est complété par le programme de micro-apprentissage « Le bien commun dans la pratique des affaires », que j'ai développé dans le cadre de mon engagement à promouvoir les principes éthiques dans les affaires.
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